Après avoir fait une grande carrière de reporter international et connu un succès mondial avec Un dimanche à la piscine à Kigali, Gil Courtemanche a tenu une chronique dans le quotidien Le Devoir. Le Camp des justes (Boréal) reprend les meilleures de ces chroniques.
« En relisant ces dernières chroniques, je retrouve presque à chaque page ce qui m’attache à cet intellectuel, par-delà sa personnalité rébarbative. Courtemanche, en effet, était un indigné permanent, mais qui avait le souci de soumettre ses emportements à l’épreuve des faits. » Louis Cornellier, Le Devoir
« Il y a chez Gil Courtemanche non seulement une connaissance des sujets mais également une sensibilité par rapport à l’être humain. Il a cette passion, cet amour de l’Afrique qu’il nous transmet. Le texte inédit est tellement beau, touchant, tellement vrai. C’est une plume lumineuse mise au service des indignés. » Djemila Benhabib, Plus on est de fous, plus on lit (SRC)
« Ce ne sont pas des textes très joyeux, mais absolument essentiels. Le dernier texte de Gil Courtemanche nous rappelle comment l’indignation est utile. C’est un regard noir, mais réaliste. » Sophie Langlois, Médium large (SRC)
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