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Un cynique chez les lyriques, Denys Arcand et le Québec de Carl Bergeron paraîtra le 13 mars prochain. L’auteur dresse est un portrait sensible du cinéaste à travers une lecture et une interprétation serrées de son travail, des premiers films pour l’ONF jusqu’aux films de consécration. Carl Bergeron remonte aux sources intimes du cynisme philosophique d’Arcand et montre la filiation trouble et émouvante qui n’a cessé d’unir celui-ci à son pays natal, dans une tension permanente entre le sentiment d’appartenance et la nécessité de faire une œuvre. En complément de lecture, Denys Arcand lui fait écho par des annotations mordantes et éclairantes, tantôt évoquant tantôt des anecdotes, tantôt proposant des explications sur son parcours.
:: Un cynique chez les lyriques en librairie le 13 mars.
:: Feuilletez un extrait sur le site Internet.
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Du ventre de la baleine, finaliste du Prix du Gouverneur Général, est un roman de Michael Crummey, traduit de l’anglais par Lori Saint-Martin et Paul Gagné. Il s’agit d’un portrait inattendu du monde moyenâgeux qui était, encore naguère, celui de l’arrière pays terre-neuvien, un lieu si extravagant qu’on se demande s’il a vraiment existé… Dans cette vaste saga familiale qui embrasse plus de deux siècles, tout imprégnée de réalisme magique, on croit voir resurgir les antiques liens qu’entretenait Terre-Neuve avec la Caraïbe et l’Amérique latine, comme si une bonne mesure des récits nés aux Antilles avait voyagé dans les cales des bateaux transportant le rhum jusque dans le port de St. John’s.
:: Du ventre de la baleine en librairie le 20 mars.
:: Feuilletez un extrait sur le site Internet.
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Pierre Monette, essayiste, poète et romancier, publie un nouveau livre, Onon:ta’, une histoire naturelle du mont Royal. Abondamment illustré, cet ouvrage, comme le précise son auteur, « n’est pas un ouvrage de plus sur le mont Royal. […] J’ai pris le parti de nommer et de parcourir ce paysage tel qu’il était avant l’assaut de l’asphalte, et tel qu’il sera «tant que l’herbe poussera» encore lorsque l’effritement de cette prétention de pierre qu’est le béton perpétuera avec peine un vague et vain souvenir des derniers humains. »
:: Onon:ta’ en librairie le 27 mars.
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