Venez assister au lancement du livre Louis Bernard. Entretiens en compagnie de Louis Bernard et de Michel Sarra-Bournet.
Le mercredi 11 mars 2015 à 17 h à la salle Alfred-Laliberté du Pavillon Judith-Jasmin de l’UQAM.
Louis Bernard a été une des personnes les plus influentes au sein de l’État québécois pendant plus de trois décennies. Il a tour à tour été qualifié de «mandarin des mandarins», parce qu’il a été le patron de tous les fonctionnaires, et d’«éminence grise», en raison de sa participation aux décisions gouvernementales sous plusieurs premiers ministres. La plupart des Québécois savent peu de choses de celui qui a pourtant été un proche collaborateur de René Lévesque et de Jacques Parizeau, et qui a également conseillé Jean Lesage, Daniel Johnson, Jean-Jacques Bertrand, Robert Bourassa, Lucien Bouchard et Bernard Landry. En recueillant son témoignage sur les événements politiques qu’il a vécus et ses propos sur la gouvernance et l’avenir du Québec, cet ouvrage rend compte de sa contribution aux affaires publiques.
Lire un extrait : http://bit.ly/1zT1KNa
Acheter le format numérique : http://bit.ly/1KECD5s
Dans le cadre des Dimanches philo organisés par la Compagnie des philosophes, Paul St-Pierre Plamondon présentera une conférence suivie d’un atelier le dimanche 1er mars de 9 h 30 à 13 h. L’auteur vous propose une journée sous le thème de son dernier livre Les Orphelins politiques.
Pour plus d’information, cliquez ici.
Venez rencontrer les auteurs du Boréal à l’occasion du Salon du livre de l’Outaouais, qui se tiendra du 26 février au 1er mars prochain. Michèle Ouimet, Patricia Smart, Alain Saulnier, Caroline Merola, Michael Delisle et Daniel Poliquin seront présents pour des séances de signatures et diverses activités. Pour connaître les horaires de chacun, cliquez sur le nom de l’auteur.
L’historien, sociologue des sciences et professeur à l’UQAM, Yves Gingras donnera une conférence sur Marie-Victorin et les piliers de la recherche scientifique le mardi 10 mars 2015. L’animation sera assurée par Éric Bédard.
Le frère Marie-Victorin est sans conteste une figure majeure du monde intellectuel québécois de l’entre-deux-guerres. On le connaît surtout comme le fondateur du Jardin botanique de Montréal, mais il est aussi un intellectuel qui a mené de nombreux combats pour stimuler le développement des universités, de la recherche et de la culture scientifique au sein de la société québécoise. Cette conférence retrace son itinéraire et ses combats en rappelant aussi les autres figures importantes qu’il a formées et qui se sont associées à lui dans ses luttes pour la promotion des sciences au Québec.
Pour plus de détails sur l’activité, cliquez ici.
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Auteur de :
Du scribe au savant. Les porteurs du savoir de l’Antiquité à la révolution industrielle.
Plutôt que de trancher entre diverses définitions possibles de la science, les auteurs ont choisi d’aborder les différentes conceptions du monde qui se sont succédé depuis cinq mille ans. Ils placent ici au foyer de leur enquête les porteurs du savoir, les acteurs qui ont produit, conservé et disséminé le savoir, en insistant sur leur enracinement dans l’organisation sociale et les institutions de leur temps, sur leurs moyens de travail intellectuels et matériels et sur la nature de leurs visées.
Benoît Grenier, auteur de Brève histoire du régime seigneurial, sera en conférence à Québec le mercredi 18 février à 19 h 30.
Centre communautaire Noël-Brulart
1229, avenue du Chanoine-Morel, Québec
L’étonnante survivance du régime seigneurial au Québec (1854-1974)
Le régime seigneurial, associé à la Nouvelle-France, maintenu après la Conquête, a été aboli officiellement en 1854. Les seigneurs reçoivent des compensations alors que les censitaires continuent à verser des rentes. Cette situation est réglée seulement en 1935 avec l’adoption d’une loi par le gouvernement du Québec. Cependant, il faudra attendre les années 1970 pour que disparaissent les dernières rentes seigneuriales.
Pour plus d’information, consultez le site Internet de la Société de généalogie du Québec. Pour suivre les projets de recherches de Benoit Grenier en lien avec son livre Brève histoire du régime seigneurial, cliquez ici.
Montréal, le 10 février 2015 — Les Éditions du Boréal sont fières d’annoncer qu’elles ont conclu une entente avec les héritiers de Jack Kerouac pour la publication de textes inédits de l’auteur de On the Road directement écrits en français.
Le français, celui que parlait la communauté franco-américaine de Lowell, Massachusetts, où il est né, était la langue maternelle de Jack Kerouac. C’est la langue qu’il a parlée exclusivement jusqu’à l’âge de six ans, et celle qu’il a parlée toute sa vie, chez lui, avec sa mère, née Gabrielle-Ange Lévesque à Saint-Hubert-de-Rivière-du-Loup.
C’est donc tout naturellement que Jack Kerouac a écrit plusieurs textes en français, tout au long de sa carrière d’écrivain, même après qu’il fut devenu un auteur phare de la littérature américaine. Toutefois, aucun de ces textes n’avait été publié à ce jour, sauf quelques brefs passages qui figurent dans ses romans en anglais.
Le recueil intitulé La vie est d’hommage, expression tirée d’une phrase que Kerouac emploie dans son roman Visions of Cody, comprendra une novella complète, Sur le chemin (qui est différente de On the Road), et un long début de roman intitulé La Nuit est ma femme, ainsi que des sections importantes de Maggie Cassidy et de Satori in Paris, dont le premier jet a été écrit en français. Y figurera également un début de On the Road rédigé en français.
Ces textes, dont les manuscrits ont été conservés par John Sampas, le beau-frère de Kerouac et gardien de son patrimoine littéraire, seront établis et présentés par Jean-Christophe Cloutier, professeur adjoint de littérature anglaise à la University of Pennsylvania. Ce dernier est également responsable de la traduction en anglais de Sur le chemin et de La nuit est ma femme pour la prestigieuse Library of America.
Il est fascinant de voir comment, dix ans avant l’éclosion du joual au Québec, au début des années soixante, Jack Kerouac a donné une incarnation écrite à la langue populaire des francophones d’Amérique du Nord. Ces textes révéleront aux lecteurs de Kerouac des pans inédits de La Légende de Duluoz, la vaste trame narrative à l’intérieur de laquelle il a inscrit tous ses romans. Surtout, ils permettront de découvrir l’extraordinaire sensibilité de Kerouac quand il écrivait dans sa langue maternelle, celle qui lui permettait d’exprimer de la manière la plus juste sa situation de déraciné dans une Amérique où il était impossible de vivre et d’écrire dans une autre langue que l’anglais.
La parution de La vie est d’hommage est prévue au printemps de l’année 2016.
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Source : Les Éditions du Boréal
Renseignements : Johanne Paquette, attachée de presse
514 336-3941 poste 225/ jpaquette@dimedia.qc.ca
La Bibliothèque de Lachute organise une conférence avec Suzanne Laurin. Géographe née à Saint-Benoît (Mirabel), elle a été témoin de l’impact social de l’expropriation de Mirabel et a publié à ce sujet, au Boréal, un essai intitulé L’Échiquier de Mirabel.
Qu’est-ce au juste que Mirabel ? Un aéroport à vocation modifiée ? Une zone aéroportuaire maintes fois redessinée ? Un territoire exproprié puis réapproprié au bout d’une longue lutte ? Mirabel est un espace aux frontières floues et mouvantes où vivent pourtant des personnes bien réelles.
Le lundi 11 février à 19 h
Bibliothèque Jean-Marc-Belzile
378, rue Principale, Lachute
5 $ – Réservation au 450-562-4578
Lire un extrait de l’ouvrage.
Écoutez la vidéo dans laquelle Suzanne Laurin présente son essai.
Découvrez quelques photos extraites du livre !
Le Cercle littéraire Françoise-Loranger recevra Joanna Gruda, auteur de L’enfant qui savait parler la langue des chiens, le mercredi 18 février à la bibliothèque de Mont-Saint-Hilaire.
Mercredi 18 février à 19 h 30
Cercle littéraire Françoise-Loranger
Bibliothèque Armand-Cardinal
150, rue du Centre-Civique
Mont-Saint-Hilaire
Entrée libre pour les membres du cercle littéraire
8 $ pour les non-membres
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En nous racontant sous forme romanesque l’histoire véridique de son père, Joanna Gruda dépeint une enfance hors du commun, qui commence à Varsovie à l’orée de la guerre et qui s’achève dans Paris libéré. La nécessité, pour les Juifs d’Europe, de fuir et de se cacher, les délices de l’école buissonnière, l’occupation allemande, les amourettes heureuses ou malheureuses, les bombardements qui ont accompagné l’offensive alliée, la joie de retrouver les êtres aimés qu’on croyait perdus, l’abîme dans les yeux de ceux qui sont revenus des camps, tout cela est raconté sans la moindre sentimentalité, rendant plus palpable encore le tragique qui imprègne ces années sombres.
« Un livre troublant, d’une beauté remarquable. Joanna Gruda nous raconte ici l’enfance de son père avec tout son amour et ses tripes. Un récit qu’il faut absolument lire. »
Joane Charron – Vizzion 50 Le Magazine
L’Association des libraires du Québec (ALQ) a dévoilé, à l’occasion d’une soirée à la librairie Raffin, le nom des auteurs finalistes au Prix des libraires du Québec. Le Feu de mon père, de Michael Delisle, et Ma vie rouge Kubrick, de Simon Roy, font partie des cinq titres finalistes de la catégorie roman québécois.
Le Prix des libraires du Québec, coordonné par l’ALQ, présente deux catégories, roman québécois et roman hors Québec. Il se veut un hommage aux auteurs dont les œuvres ont retenu l’attention des libraires au cours de l’année, tant par leur qualité littéraire que par leur originalité.
La cérémonie de remise aura lieu le 11 mai 2015, au Lion d’Or, à Montréal.
Pour connaître les autres finalistes, cliquez ici
Les Éditions du Boréal sont fières d’annoncer qu’elles ont acquis les droits en langue française de cinq romans du grand écrivain anglo-montréalais Mordecai Richler. Les cinq titres feront l’objet de nouvelles traductions signées Lori Saint-Martin et Paul Gagné et leur publication s’échelonnera entre 2015 et 2017.
Personnage public controversé, mais romancier unanimement acclamé, Mordecai Richler (1931-2001) compte parmi les plus grands noms de la littérature canadienne, et il est certainement, avec Leonard Cohen, l’écrivain anglo-montréalais qui jouit de la plus grande renommée internationale.
Même si les romans de Richler se déroulent à Montréal et comptent parmi les plus célèbres incarnations littéraires de la métropole, plusieurs traductions ont été faites en France et reflétaient une grande méconnaissance du contexte montréalais et québécois. D’autres, effectuées au Québec il y a quarante ans, ont beaucoup vieilli.
Ces nouvelles traductions, réalisées par des traducteurs québécois parmi les plus reconnus, permettront aux lecteurs habituels de Richler de retrouver les romans qu’ils connaissent déjà dans un texte français aux accents plus fidèles aux œuvres originales, et aux lecteurs plus jeunes de découvrir un auteur de premier plan, dont les œuvres n’étaient, pour nombre d’entre elles, plus disponibles en français.
Les titres à paraître au Boréal sont les suivants : Son of a Smaller hero (1955), St. Urbain’s Horseman (1971), Joshua Then and Now (1980), Solomon Gursky (1989), en plus de The Apprenticeship of Duddy Kravitz (1959).
Lori Saint-Martin et Paul Gagné ont réalisé en tandem la traduction de plus de quatre-vingts titres, signés par les plus grands noms de la littérature canadienne-anglaise : Margaret Atwood, Anne-Marie MacDonald, David Homel, Miriam Toews, Gil Adamson etc.
Le premier titre de cette série, Solomon Gursky, dans sa nouvelle traduction, paraîtra en mars 2015.
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Renseignements : Johanne Paquette, attachée de presse
514 336-3941 poste 225/ jpaquette@dimedia.qc.ca
Les photos des auteurs ne peuvent être reproduites sans l'autorisation des Éditions du Boréal.