L’essai de David Hackett Fisher, Le Rêve de Champlain, paru en 2011 aux Éditions du Boréal, a été adapté en docu-fiction pour la télévision. La série commence dès ce soir à 21 h sur TFO.
Navigateur, cartographe, écrivain, ethnologue, botaniste, explorateur, Samuel de Champlain a marqué l’histoire du Canada par son humanisme et sa vision. Composés d’explorations documentaires et de reconstitutions historiques, la série Le Rêve de Champlain plonge dans la vie trépidante de l’explorateur et nous entraîne dans un univers rempli de défis et de découvertes. Visitez l’adresse www.revedechamplain.com pour obtenir plus de détails et découvrir des applications et des jeux.
Visionnez dès maitenant la bande-annonce.
Michael Delisle participera à une table ronde qui réunira les finalistes du Prix littéraire des collégiens. Cette rencontre gratuite et ouverte au public se déroule à la Librairie Olivieri, à Montréal. Venez rencontrer l’auteur du Feu de mon père !
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Le jeudi 12 mars 2015 à 19 h
Librairie Olivieri
5219, chemin de la Côte-des-Neiges, Montréal, H3T 1Y1
La Société de généalogie de Drummondville recevra Benoît Grenier pour une conférence sur la persistance seigneuriale au Québec. La rencontre aura lieu au Centre communautaire Saint-Pierre le mercredi 11 mars à 19 h 30.
Brève histoire du régime seigneurial au Québec
Le monde seigneurial du Québec a survécu bien après l’abolition des droits et devoirs féodaux en France (1793). Il faudra attendre 1854 pour qu’on l’abolisse dans le Canada-Est. Cette longévité est d’autant plus étonnante que les droits seigneuriaux ne s’éteindront pas complètement cette année-là, ni même au XIXe siècle… Les rapports inégalitaires et hiérarchisés caractéristiques du féodalisme européen se sont-ils transformés sur les rives du Saint-Laurent ? Le régime seigneurial s’est-il adapté, assoupli, dans ce terroir « neuf » ? A-t-il, au contraire, été appliqué avec rigueur ? A-t-il réellement constitué un outil de peuplement et, par conséquent, un facteur favorable au développement de la colonie ? A-t-il plutôt été un élément nuisible et un fardeau pour les habitants de la Nouvelle-France puis du Bas-Canada ?
Pour suivre les projets de recherche de Benoit Grenier en rapport avec son livre Brève histoire du régime seigneurial, cliquez ici.
Venez assister au lancement du livre Louis Bernard. Entretiens en compagnie de Louis Bernard et de Michel Sarra-Bournet.
Le mercredi 11 mars 2015 à 17 h à la salle Alfred-Laliberté du Pavillon Judith-Jasmin de l’UQAM.
Louis Bernard a été une des personnes les plus influentes au sein de l’État québécois pendant plus de trois décennies. Il a tour à tour été qualifié de «mandarin des mandarins», parce qu’il a été le patron de tous les fonctionnaires, et d’«éminence grise», en raison de sa participation aux décisions gouvernementales sous plusieurs premiers ministres. La plupart des Québécois savent peu de choses de celui qui a pourtant été un proche collaborateur de René Lévesque et de Jacques Parizeau, et qui a également conseillé Jean Lesage, Daniel Johnson, Jean-Jacques Bertrand, Robert Bourassa, Lucien Bouchard et Bernard Landry. En recueillant son témoignage sur les événements politiques qu’il a vécus et ses propos sur la gouvernance et l’avenir du Québec, cet ouvrage rend compte de sa contribution aux affaires publiques.
Lire un extrait : http://bit.ly/1zT1KNa
Acheter le format numérique : http://bit.ly/1KECD5s
Dans le cadre des Dimanches philo organisés par la Compagnie des philosophes, Paul St-Pierre Plamondon présentera une conférence suivie d’un atelier le dimanche 1er mars de 9 h 30 à 13 h. L’auteur vous propose une journée sous le thème de son dernier livre Les Orphelins politiques.
Pour plus d’information, cliquez ici.
Venez rencontrer les auteurs du Boréal à l’occasion du Salon du livre de l’Outaouais, qui se tiendra du 26 février au 1er mars prochain. Michèle Ouimet, Patricia Smart, Alain Saulnier, Caroline Merola, Michael Delisle et Daniel Poliquin seront présents pour des séances de signatures et diverses activités. Pour connaître les horaires de chacun, cliquez sur le nom de l’auteur.
L’historien, sociologue des sciences et professeur à l’UQAM, Yves Gingras donnera une conférence sur Marie-Victorin et les piliers de la recherche scientifique le mardi 10 mars 2015. L’animation sera assurée par Éric Bédard.
Le frère Marie-Victorin est sans conteste une figure majeure du monde intellectuel québécois de l’entre-deux-guerres. On le connaît surtout comme le fondateur du Jardin botanique de Montréal, mais il est aussi un intellectuel qui a mené de nombreux combats pour stimuler le développement des universités, de la recherche et de la culture scientifique au sein de la société québécoise. Cette conférence retrace son itinéraire et ses combats en rappelant aussi les autres figures importantes qu’il a formées et qui se sont associées à lui dans ses luttes pour la promotion des sciences au Québec.
Pour plus de détails sur l’activité, cliquez ici.
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Auteur de :
Du scribe au savant. Les porteurs du savoir de l’Antiquité à la révolution industrielle.
Plutôt que de trancher entre diverses définitions possibles de la science, les auteurs ont choisi d’aborder les différentes conceptions du monde qui se sont succédé depuis cinq mille ans. Ils placent ici au foyer de leur enquête les porteurs du savoir, les acteurs qui ont produit, conservé et disséminé le savoir, en insistant sur leur enracinement dans l’organisation sociale et les institutions de leur temps, sur leurs moyens de travail intellectuels et matériels et sur la nature de leurs visées.
Benoît Grenier, auteur de Brève histoire du régime seigneurial, sera en conférence à Québec le mercredi 18 février à 19 h 30.
Centre communautaire Noël-Brulart
1229, avenue du Chanoine-Morel, Québec
L’étonnante survivance du régime seigneurial au Québec (1854-1974)
Le régime seigneurial, associé à la Nouvelle-France, maintenu après la Conquête, a été aboli officiellement en 1854. Les seigneurs reçoivent des compensations alors que les censitaires continuent à verser des rentes. Cette situation est réglée seulement en 1935 avec l’adoption d’une loi par le gouvernement du Québec. Cependant, il faudra attendre les années 1970 pour que disparaissent les dernières rentes seigneuriales.
Pour plus d’information, consultez le site Internet de la Société de généalogie du Québec. Pour suivre les projets de recherches de Benoit Grenier en lien avec son livre Brève histoire du régime seigneurial, cliquez ici.
Montréal, le 10 février 2015 — Les Éditions du Boréal sont fières d’annoncer qu’elles ont conclu une entente avec les héritiers de Jack Kerouac pour la publication de textes inédits de l’auteur de On the Road directement écrits en français.
Le français, celui que parlait la communauté franco-américaine de Lowell, Massachusetts, où il est né, était la langue maternelle de Jack Kerouac. C’est la langue qu’il a parlée exclusivement jusqu’à l’âge de six ans, et celle qu’il a parlée toute sa vie, chez lui, avec sa mère, née Gabrielle-Ange Lévesque à Saint-Hubert-de-Rivière-du-Loup.
C’est donc tout naturellement que Jack Kerouac a écrit plusieurs textes en français, tout au long de sa carrière d’écrivain, même après qu’il fut devenu un auteur phare de la littérature américaine. Toutefois, aucun de ces textes n’avait été publié à ce jour, sauf quelques brefs passages qui figurent dans ses romans en anglais.
Le recueil intitulé La vie est d’hommage, expression tirée d’une phrase que Kerouac emploie dans son roman Visions of Cody, comprendra une novella complète, Sur le chemin (qui est différente de On the Road), et un long début de roman intitulé La Nuit est ma femme, ainsi que des sections importantes de Maggie Cassidy et de Satori in Paris, dont le premier jet a été écrit en français. Y figurera également un début de On the Road rédigé en français.
Ces textes, dont les manuscrits ont été conservés par John Sampas, le beau-frère de Kerouac et gardien de son patrimoine littéraire, seront établis et présentés par Jean-Christophe Cloutier, professeur adjoint de littérature anglaise à la University of Pennsylvania. Ce dernier est également responsable de la traduction en anglais de Sur le chemin et de La nuit est ma femme pour la prestigieuse Library of America.
Il est fascinant de voir comment, dix ans avant l’éclosion du joual au Québec, au début des années soixante, Jack Kerouac a donné une incarnation écrite à la langue populaire des francophones d’Amérique du Nord. Ces textes révéleront aux lecteurs de Kerouac des pans inédits de La Légende de Duluoz, la vaste trame narrative à l’intérieur de laquelle il a inscrit tous ses romans. Surtout, ils permettront de découvrir l’extraordinaire sensibilité de Kerouac quand il écrivait dans sa langue maternelle, celle qui lui permettait d’exprimer de la manière la plus juste sa situation de déraciné dans une Amérique où il était impossible de vivre et d’écrire dans une autre langue que l’anglais.
La parution de La vie est d’hommage est prévue au printemps de l’année 2016.
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Source : Les Éditions du Boréal
Renseignements : Johanne Paquette, attachée de presse
514 336-3941 poste 225/ jpaquette@dimedia.qc.ca
La Bibliothèque de Lachute organise une conférence avec Suzanne Laurin. Géographe née à Saint-Benoît (Mirabel), elle a été témoin de l’impact social de l’expropriation de Mirabel et a publié à ce sujet, au Boréal, un essai intitulé L’Échiquier de Mirabel.
Qu’est-ce au juste que Mirabel ? Un aéroport à vocation modifiée ? Une zone aéroportuaire maintes fois redessinée ? Un territoire exproprié puis réapproprié au bout d’une longue lutte ? Mirabel est un espace aux frontières floues et mouvantes où vivent pourtant des personnes bien réelles.
Le lundi 11 février à 19 h
Bibliothèque Jean-Marc-Belzile
378, rue Principale, Lachute
5 $ – Réservation au 450-562-4578
Lire un extrait de l’ouvrage.
Écoutez la vidéo dans laquelle Suzanne Laurin présente son essai.
Découvrez quelques photos extraites du livre !
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