Le jeudi 14 novembre, à 19 h, le Sain Bol accueillera la comédienne Alexandrine Agostini, qui lira des textes de Suzanne Jacob, en présence de l’auteur. Venez l’entendre !
Lire Suzanne Jacob
Le Sain Bol
5095, rue Fabre (angle Laurier), Montréal
514 524-2292
Entrée : 5 $ (Pour 5$ de plus, le chef vous offre une chaude surprise.)
Arrivée conseillée dès 18 h 30
Aucune réservation
Le mercredi 13 novembre, la Librairie Paulines reçoit Christian Nadeau pour une rencontre à propos de son nouvel ouvrage, Liberté, égalité, solidarité.
Christian Nadeau nous rappelle dans son essai sur quelles fondations – celles de la justice sociale – est construite notre démocratie.
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Mercredi 13 novembre, 19 h 30
Librairie Paulines
2653, rue Masson, Montréal
Renseignements : 514 849-3585
Contribution suggérée : 5 $
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Liberté, égalité, solidarité est disponible en librairie et en format numérique.
Vous pouvez feuilleter le livre sur notre site Internet.

Mercredi 6 novembre – Le jury du prix Femina a dévoilé les noms des lauréats dans les catégories romans français, romans étrangers et essais. Richard Ford est le lauréat en « romans étrangers » pour son ouvrage Canada, publié au Boréal en coédition avec les Éditions de L’Olivier. Parue au début de l’automne, la traduction en langue française de Canada a suscité un accueil unanime de la critique québécoise.
Le prix Femina fait partie des grands prix littéraires décernés chaque année en France. Avec le Goncourt, le Renaudot, le Médicis, l’Interallié et le Grand Prix du roman de l’Académie française, il constitue l’une des récompenses les plus convoitées par les maisons d’édition et les écrivains.
Pour plus d’informations, cliquez ici.
La Bataille de Londres, de Frédéric Bastien, est en nomination pour la 31e édition du Prix du Grand public du Salon du livre de Montréal – La Presse.
Le public est invité à voter pour le livre de son choix depuis le site Internet du Salon du livre de Montréal, du 5 au 21 novembre. Des bulletins de participation seront également publiés dans La Presse à compter du mercredi 13 novembre. Ils pourront être déposés au comptoir La Presse (stand n° 340) ou aux guichets « Admission » de la Place Bonaventure. Le mercredi 20 et le jeudi 21 novembre, de 9 h à 20 h, les coupons-réponses pourront être échangés contre une entrée gratuite au Salon.
Le prix sera remis le dimanche 24 novembre à 11 h au Carrefour Desjardins.
Pour plus de détails et pour voter, cliquez ici.
L’illustratrice Marie-Louise Gay a remporté le prix Claude Aubry 2013, remis à l’occasion du gala des prix TD de littérature canadienne pour l’enfance et la jeunesse.
Le prix Claude Aubry est décerné tous les deux ans par IBBY Canada et récompense une contribution exceptionnelle dans le domaine de la littérature jeunesse.

C’est le cœur qui meurt en dernier, c’est…
Après la mort de sa mère, un fils tente de tracer le portrait d’une femme piégée par le destin. D’outre-tombe comme de son vivant, la mère insiste pour se peindre elle-même, telle qu’elle était, telle qu’elle entend se survivre, impitoyablement drapée dans sa légende d’héroïne entravée. « Fatale », l’avait surnommée le père. Et pour cause.
Un récit et non un roman…
Tout simplement parce qu’il s’agit de ma mère, du moins telle qu’elle fut avec moi, dans un rapport de tendresse et de bataille, que sa mort, d’ailleurs, n’a pas changé.
On découvre un aspect autobiographique…
L’émotion décide bien sûr de tout quand il s’agit d’un être qu’on a connu. La vérité n’existe pas : seule compte la passion du lien, sa force, sa beauté, sa complexité, dont il faut bien admettre qu’on ne vient jamais à bout. On a beau tenter de se tirer au clair, de sonder l’autre de part en part, on finit toujours par faire du proche capital un personnage intraduisible. Un personnage de roman.
La femme dont vous parlez est une femme exceptionnelle. Est-ce votre regard qui la rend ainsi ou est-ce sa vie, sa personnalité à elle ?
Pour moi, tout vivant est exceptionnel. Dans la mesure où chacun est, d’une façon ou d’une autre, piégé par son destin. La mère de mon récit est une femme née trop tard ou trop tôt et qui porte sur son époque un regard à la fois lucide, ironique, féroce, allégorique et impitoyable : le genre de point de vue sur la vie qui passe dans le sang, qui se transmet comme la couleur des yeux ou l’habitude de croire ou de ne pas croire à certaines vérités imposées. Exceptionnelle, oui, ma mère se croyait telle et avec raison, sans doute. L’affaire c’est que les autres, son fils y compris, la subissaient sans la comprendre – peut-être même sans la connaître.
Dans quelle mesure l’époque et le lieu ont influencé ce destin exceptionnel ?
Cette femme a vécu durant quatre-vingt-quatorze courtes – et longues – années. Elle en a vu, comme on dit, de toutes les couleurs : l’ère aride de la Grande Dépression, la guerre lointaine mais présente au jour le jour, les années de remontée, ces années soixante qui promettaient tant – mais pas pour elle, pour qui c’était trop tard – la grande désillusion qui s’ensuivit, etc. Il s’agissait avant tout pour moi de la mettre en scène, au jour le jour, dans son rapport avec un fils qui, comme tous les gars de sa génération, se croyait immortel et non coupable et comptait filer telle une comète flamboyante dans un futur qui n’attendait que lui. C’est à ce fils-dieu que la mère clame, d’outre-tombe, comme elle l’avait si souvent fait de son vivant : « Tout génie que tu te penses, demande-z-en pas trop ! Pis oublies pas : c’est le cœur, pas la tête, qui meurt en dernier ! »
C’est le cœur qui meurt en dernier est disponible en librairie et au format numérique.
Feuilletez un extrait sur le site internet www.editionsboreal.qc.ca
Le mercredi 6 novembre, la Librairie Paulines reçoit Andrée Yanacopoulo pour une rencontre à propos de son récit, Prendre acte, animée par Pierre Nepveu.
Les poignants mémoires d’Andrée Yanacopoulo rendent compte du parcours de toute une vie, parcours intellectuel autant que personnel. Ils proposent un regard toujours étonnant sur un Québec en profonde transformation, et présentent son engagement constant pour la cause des femmes. Ils témoignent enfin, dans des termes dont la pudeur n’a d’égale que l’émotion qu’ils suscitent, d’un grand amour, exaltant, déchirant, qui a le sombre éclat des tragédies.
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Mercredi 6 novembre, 19 h 30
Librairie Paulines
2653, rue Masson, Montréal
Renseignements : 514 849-3585
Contribution suggérée : 5 $
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Visionnez la vidéo dans laquelle Andrée Yanacopoulo présente son livre, Prendre acte.
Prendre acte est disponible en librairie et en format numérique.
Vous pouvez feuilleter le livre sur notre site Internet.
Le samedi 2 novembre, Dany Laferrière donnera une conférence lors d’un souper à la salle de réception La Canadienne de la Place Concorde, à Windsor, en Ontario. L’auteur y parlera de son rapport à la lecture et à l’écriture ainsi que de la réalité d’écrire hors de son pays et dans une langue qui n’est pas sa langue maternelle.
Souper – conférence de Dany Laferrière
Salle de réception La Canadienne
Place Concorde, Windsor, Ontario
Billets en prévente : 25 $
Réservation par téléphone : 519-948-5545
Le centre culturel de Verdun recevra Serge Bouchard le mardi 5 novembre à 19 h 30.Venez rencontrer le célèbre anthropologue, qui partagera avec vous son parcours d’écrivain.
Serge Bouchard a récemment publié C’était au temps des mammouths laineux, dans lequel il revient sur son enfance, sur son métier d’anthropologue, sur sa fascination pour les cultures autochtones et pour celle des truckers, sur son amour de la nature et de l’écriture.
Rencontre avec Serge Bouchard
Le mardi 5 novembre à 19 h 30
Centre culturel de Verdun
5955, rue Bannantyne, Montréal, H4H 1H6
Informations : 514 765-7170
C’était au temps des mammouths laineux est disponible en librairie et en format numérique.
Vous pouvez également feuilleter le livre sur notre site Internet.
En librairie depuis le 22 octobre, Cap sur un Québec gagnant, Le Projet Saint-Laurent retient l’attention des médias. Retour sur les échos marquants :
L’Actualité : François Legault, le réformateur. Les six idées à retenir de son livre, Cap sur un Québec gagnant. Un reportage d’Alec Castonguay.
La Presse : La dernière carte de François Legault, selon Vincent Marissal.
Le Devoir : François Legault – Projet de… pays
« L’ouvrage est bien, déprimant de réalisme et stimulant de propositions, bien différent de ces autobiographies électoralistes auxquelles nous sommes habitués. »
Jean-Robert Sansfaçon – Le Devoir
24 heures en 60 minutes, à Radio-Canada : Anne-Marie Dussault reçoit François Legault
[Extrait à 16 : 30]
C’est pas trop tôt, à Radio-Canada : Transformer la vallée du Saint-Laurent en berceau de l’innovation. Marie-France Bazzo s’entretient avec François Legault.
Le retour de Gilles Parent , au FM 93-Québec : François Legault, chef de la Coalition Avenir Québec , de passage en studio
[à 28:39]
Puisqu’il faut se lever, au 98,5 FM : une entrevue de Paul Arcand avec François Legault
Deux hommes en or à Télé-Québec a reçu François Legault pour un club de lecture bien spécial.
Cap sur un Québec gagnant, Le Projet Saint-Laurent, est disponible en librairie et en format numérique.
Lisez un extrait sur le site internet !
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