Dans cette vidéo tournée lors d’une causerie à la librairie des halles à Niort, en France, Gaétan Soucy parle de son écriture…

« Ce dont je peux parler le mieux c’est de la façon dont ça s’est écrit. […] Dans le cas de La Petite fille qui aimait trop les allumettes, c’est un livre qui a été écrit, je dirais sous la dictée. Je me méfie de toute forme de romantisme, de l’inspiration. Mais je dois admettre que l’expérience de La petite fille a été une expérience d’écoute directe avec une voix que j’entendais. Et je craignais de perdre cette voix que j’entendais… J’ai écris ce livre très très rapidement. En moins d’un mois, ça a été aussi une expérience physiquement difficile. Sans être directement de l’écriture automatique, c’était une écriture qui ouvrait toutes les valves possibles. J’essayais de n’avoir aucun réflexe d’inhibition. C’est finalement une histoire que j’ai comprise en même temps que le lecteur. […] »

Gaétan Soucy à La librairie des halles – Niort par Centredulivre

Visionnez la vidéo dans laquelle Joanna Gruda présente son roman L’Enfant qui savait parler la langue des chiens.

« C’est vraiment une vie de changement, c’est ça qui m’a donné envie de la décrire. C’est le côté incroyable de tout ça… Je ne l’aurais pas inventé. J’aurais trouvé cela exagéré ! »

Serge Chapleau est caricaturiste à La Presse et concepteur de Gérard D. Laflaque. Depuis 20 ans, il publie chaque année au Boréal, L’Année Chapleau.

Visionnez la vidéo dans laquelle Serge Chapleau nous explique son travail de caricaturiste et nous livre ses impressions en offrant même des conseils à ceux qui voudraient suivre ses traces !

L’Année Chapleau 2012 en librairie le 13 novembre.

Visionnez la vidéo dans laquelle Emmanuel Kattan présente Les Lignes de désir, son nouveau roman :

« Les Lignes de désir c’est d’abord l’histoire de Sara, une jeune femme née à Montréal de père juif, de mère musulmane. Tout au long de sa jeunesse, elle gère assez bien ses deux identités, jusqu’au jour où elle décide d’aller étudier en Israël, à Jérusalem. C’est là que les choses commencent à se compliquer un peu. À travers les rencontres qu’elle fait, les lieux qu’elle visite, ou encore le conflit en arrière-plan, elle se rend compte que ses deux identités sont finalement véritablement en conflit. Elle se sent de plus en plus déchirée.»

« Sarah se rend compte que vouloir être entier et avoir une vie paisible ne sont pas forcément des choses compatibles. Il faut faire des choix…»

Les Lignes de désir en librairie le 23 octobre.
Feuilletez un extrait des Les Lignes de désir sur notre site Internet.

Dans son nouveau roman, La Trilogie coréenne, Ook Chung s’exprime sur les trois lieux, les trois temps de sa vie : le Japon, la Corée et le Canada.

Ook Chung est l’auteur de deux romans (Kimchi, 2001, Prix littéraire Canada-Japon ; et L’Expérience interdite, 2003) et de nouvelles (Nouvelles orientales et désorientées, 1994 ; Contes butô, 2003, Prix littéraire des collégiens).

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Écoutez la vidéo dans laquelle Ook Chung parle de son roman. «Mes trois récits peuvent être lus soit de manière autonome, soit comme les parties d’un ensemble romanesque. Le premier, Diasporama, est une sorte de collection de vignettes de mon album familial. Kimchi, c’est le devenir du « diasporien », une quête d’identité illusoire, parce qu’il a manqué trop de choses de son pays natal. La Petite Marchande de poèmes et de kimchi est une histoire d’amour entre un professeur et son étudiante, mais aussi mon histoire d’amour avec la Corée.»

La Trilogie coréenne en librairie le 9 octobre
Feuilletez un extrait sur notre site internet !

Suzanne Laurin est géographe, née à Saint-Benoît (Mirabel), elle a été témoin de l’impact social de l’expropriation de Mirabel et publie en cette rentrée littéraire L’Échiquier de Mirabel.

Qu’est-ce au juste que Mirabel ? Un aéroport à vocation modifiée ? Une zone aéroportuaire maintes fois redessinée ? Un territoire exproprié puis réapproprié au bout d’une longue lutte ? …  Mirabel est un espace aux frontières floues et mouvantes où vivent pourtant des personnes bien réelles.

Écoutez la vidéo dans laquelle Suzanne Laurin présente son livre. «Ce que j’ai voulu faire avec ce livre, c’est reprendre à mon compte les questions que les gens se posent et les discuter en les documentant. Mirabel est vraiment un cas de figure pour apprendre ou revisiter la vie politique au Québec et au Canada. »

L’Échiquier de Mirabel en librairie le 2 octobre
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Découvrez quelques photos extraites du livre !

Après Jour de chance, recueil de nouvelles paru en 2009, Nicolas Charette publie son premier roman, Chambres noires : l’histoire de Victor, photographe, qui préfère considérer le monde à travers l’objectif d’un de ses Leica. Il arrive parfois que la soif le force à sortir de chez lui…

Nicolas Charette aborde l’horreur qui se cache derrière les décors les plus familiers. Qu’il soit provoqué par l’alcool ou la drogue, ou simplement par les faux-semblants du monde qui nous entoure, le malaise qu’il décrit nous saisit à la gorge pour ne plus nous quitter.

Visionnez la vidéo dans laquelle Nicolas Charette présente son roman : « Mon but était de décrire de l’intérieur ce qu’est une obsession, suivre quelqu’un qui se détruit, le sait et qui malgré tout, continue à le faire. C’est une entrée dans l’univers de la violence des hommes. »

Chambres noires en librairie le 28 août
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Visionnez un extrait vidéo de la causerie dans laquelle Marcelo Otero présente son essai sociologique, L’Ombre portée, L’individualité à l’épreuve de la dépression. Cette causerie à la Librairie Olivieri, animée par Caroline Julie Fortin a été filmée par Bernard Belzile.

Retrouvez la conférence complète sur Radio spirale.

L’Ombre portée, L’individualité à l’épreuve de la dépression en librairie et en format numérique
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Visionnez la vidéo dans la laquelle Dany Laferrière nous lit le début de son roman, Chronique de la dérive douce.

J’aime le mois d’avril.
La couleur jaune.
Les ciels étoilés.
La mer turquoise.
Les hibiscus en fleurs.
Et les jeunes filles tristes…

Visionnez la vidéo dans laquelle Kathleen Winter présente son roman, Annabel : « c’est l’histoire d’un enfant hermaphrodite, ou intersexe, comme on dit aujourd’hui. Un ami, un jour, m’a parlé d’un enfant comme celui-ci. Cela m’a fascinée. J’ai alors commencé à écrire une nouvelle qui s’est transformée en roman. Mais ce n’est pas seulement l’histoire d’Annabel-Wayne. Le roman raconte l’histoire de toute sa famille, de tout le petit village. »

Annabel en librairie le 17 avril.
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