Le recueil de nouvelles de Marie-Sissi Labrèche, Amour et autres violences, paru le 7 février a été très bien accueilli par la critique. On y retrouve les thèmes chers à l’auteur, dans une écriture étalée sur une vingtaine d’années.
« Amour et autres violences, c’est une douzaine de textes parus au fil des ans dans diverses revues. On y retrouve les obsessions de l’écrivaine: la sexualité, le corps, la mère, la folie, la violence des sentiments, les amours maladives, les blessures de l’enfance, mais aussi le désir d’enfant, ou l’enfant né du désir. » — Chantal Guy, La Presse
« Pour moi, le dernier morceaux,« Mon Montréal à moi », c’est une pièce d’anthologie. » — Sophie Cadieux, TéléQuébe/Bazzo.tv
« Avec une aisance désarmante, l’écrivaine s’approprie l’intimité de ses personnages, jusqu’au plus profond de leur âme. Son style y est pour quelque chose, bien entendu. Un style fluide, une logorrhée de mot et d’images qui forment, au final, le portrait souvent bien noir de celles qui osent aimer jusqu’à la folie. » — Josée-Anne Paradis, Le Libraire
« Avec son recueil de nouvelles Amour et autres violences, Marie-Sissi Labrèche propose une radiographie en 12 récits de ruptures amoureuses et de fractures d’amour-propre. De ces amours qui laissent sur le corps et le cœur des cicatrices où se lisent de grands drames et de petites tragédies. » — Rachel Nadon, Huffington Post Québec
« Deux m’ont littéralement jeté parterre : la première et la dernière. […] On comprend que pour Marie-Sissi Labrèche comme pour d’autres auteures, les nouvelles, c’est un terrain formidable d’expérimentation, c’est un terrain de jeux et le résultat de ces jeux là n’est jamais inintéressant. » — René Homier-Roy, RC / C’est bien meilleur le matin
Amour et autres violences, en librairie et au format numérique
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Visionnez la vidéo dans laquelle Marie-Sissi Labrèche présente Amour et autres violences et se livre en toute spontanéité. « C’est ça ma démarche d’écriture, être une fil-de-fériste sur une lame de rasoir. Ça a toujours été comme ça, il faut que j’aie mal quelque part. »
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C’était au temps des mammouths laineux de Serge Bouchard, publié le 7 février dans la collection Papiers collés, a déjà beaucoup fait parlé de lui à la télévision comme à la radio ou dans la presse écrite.
Guy A. Lepage qui a reçu l’auteur dans son émission Tout le monde en parle a trouvé le livre de Serge Bouchard « fascinant »
« Cet ami des bêtes n’en est pas moins un « enseignant », savant volontairement égaré à l’école primaire de la vie, cette vie dont il observe avec rigueur la plus infime des manifestations. Dans ce Mammouths, il est question de la vie, champ premier des sciences dites humaines, mais aussi de la
mort. » – Daniel Lemay, La Presse
« C’est un récit nostalgique sans l’amertume, sans les regrets, que nous livre Serge Bouchard, qui a su bien vieillir, avec le courage de la lucidité et la douleur de la sensibilité. Avec l’indignation collée aux flancs aussi. Bouchard livre son récit de vie par petites tranches fines. » – Josée Blanchette, Le Devoir
« Il y a dans ce livre des pistes de questions qui sont formidables. C’est beau, c’est touchant. »
Catherine Perrin, Radio-Canada / Médium large
« Un ouvrage absolument remarquable! » – Jacques Languirand
« Des interrogations toujours pertinentes. Des textes absolument fascinants. »
François Beauregard, Temps libre / Radio Ville-Marie
« Il y a des livres qui sont comme des amis. Le dernier livre de l’anthropologue Serge Bouchard, C’était au temps des mammouths laineux, est de ceux-là. Il est constitué de vingt-cinq chroniques d’humeur déjà parues à droite, à gauche entre 2004 et 2011. » Didier Fessou, Le Soleil
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Enfin, le premier roman d’Alexandre Soublière, Charlotte before Christ paru fin janvier a lui aussi fait couler beaucoup d’encre.
« Alexandre Soublière montréalise le roman d’apprentissage yuppie. Avec Charlotte before Christ, il importe enfin au Québec le roman yuppie/décadent, nourri aux mamelles cynico-romantiques du rock et du cinéma, qui a propulsé le Brat Pack littéraire (Bret Easton Ellis et Jay McInerney) au firmament cocaïné des lettres américaines il y a plus de 25 ans. » — Dominic Tardif, Voir
« Un roman trash, fort, brillant. Qui brasse la cage des bien-pensants, fait table rase des englués de toutes sortes. Un roman comme un grand cri rauque en pleine noirceur, en pleine jungle urbaine. » — Danielle Laurin, Le Devoir
« Il y a quelque chose là-dedans qui mérite le regard, qui vaut le détour ne serait-ce que pour entrer dans un univers qui nous prend de court. C’est complètement déjanté. Il y a une voix, un souffle. Une voix intéressante à lire, à découvrir. » — Claudia Larochelle, 98,5 FM / On aura tout vu
« Son livre est important. Je le comparerai à Vamp de Mistral. Une langue surprenante. Très contemporain. C’est très bien écrit. Un livre important qui gagne à être lu » — Bizz, Radio Canada / Plus on est de fous, plus on lit
« Un roman où fils à papa, stars de la porno et rock and roll se côtoient allégrement. […] On est dans le très noir, dans le no future. Une plume très très personnelle. Alexandre Soublière, vraiment à découvrir. » — Karyne Lefebvre, Radio Canada / Plus on est de fous, plus on lit
«Son jeu avec la langue, aussi choquant soit-il, est intéressant et porteur de sens. » — Nathalie Petrowski, La Presse
Charlotte before Christ en librairie et au format numérique
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Visionnez la vidéo dans laquelle Alexandre Soublière présente son premier roman. Il nous parle de ses personnages qui «s’encouragent à se déconnecter de la réalité à travers les films et les musiques qu’ils écoutent. » Le jeune auteur évoque aussi Montréal, lieu de sa fiction, « un personnage au même titre que les autres. »
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