Elena Botchorichvili sera à Paris fin janvier pour le lancement de l’édition française de deux de ses romans, Le Tiroir au papillon et La Tête de mon père, publiés par Naïve.
Entre autres activités, Elena Botchorichvili participera au volet littéraire du Festival des cultures russe et russophones Russenko. Mentionnons que son traducteur, Bernard Kreise, est en nomination pour le prix Russophonie 2012 qui sera remis dans le cadre du festival et qui récompense chaque année la meilleure traduction du russe vers le français.
Pour le programme complet des activités, visitez le site Internet de Russenko.
Le nouveau roman d’Elena Botchorichvili intitulé Seulement attendre et regarder paraîtra aux Éditions du Boréal le 14 février.
Dès le 10 janvier, les Éditions du Boréal entame leur saison d’hiver-printemps . Au programme, recueils de nouvelles, essais et romans.
Recueils de nouvelles :
À l’aide, Jacques Cousteau de Gil Adamson, auteur de La Veuve (Boréal, 2009),raconte les tribulations de Hazel et de son frère, Andrew. En brossant ce fascinant portrait d’une famille dysfonctionnelle, Gil Adamson déploie la force extraordinaire de son écriture, combinant l’attention pour le détail du scientifique avec l’oreille infaillible du poète.
Marie-Sissi Labrèche revient cet hiver avec Amour et autres violences, des nouvelles pour lecteurs avertis. Amour, haine, sexe, folie… Les personnages écorchés se jouent de tout, mais surtout de la langue… Une nouvelle inédite et d’autres déjà publiées en revue sur une période de vingt ans, certaines introuvables, viennent éclairer l’œuvre romanesque de Marie-Sissi Labrèche.
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Romans :
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Alexandre Soublière publie son premier roman, Charlotte before Christ. Ce jeune auteur nous prouve que la génération des vingt ans ne s’est pas détournée de la littérature. Si les réseaux sociaux et l’anglais font partie intégrante de la culture actuelle, les classiques de la littérature et du cinéma ne sont pas pour autant ignorés. Une incursion dans l’univers des enfants-rois devenus adultes…
Dylanne et moi d’André Carpentier raconte l’histoire envoûtante d’une improbable rencontre. L’auteur propose une réflexion sur l’intériorité, la beauté, la complicité entre deux êtres, mais aussi sur l’imprévu qui peut survenir et auquel parfois on tente de se dérober.
Elena Botchorichvili publie son sixième roman. Seulement attendre et regarder marque un tournant dans son œuvre. Celle qui a inventé le « roman sténographique » laisse libre cours ici à sa veine comique, sorte d’hommage à Nicolas Gogol, son écrivain de prédilection. Il en résulte un portrait au vitriol de l’immigration, à mille lieux des bons sentiments qui plombent habituellement les œuvres traitant de ce thème. Ce qui ne l’empêche pas, quand on s’y attend le moins, de nous ébranler avec des moments d’une indicible émotion.
Essais :
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La Pratique du roman, sous la direction d’Isabelle Daunais et de François Ricard parle de la forme artistique du roman, de sa spécificité, de son rôle, de ses limites. À ces grandes questions s’ajoutent celles qui sont propres au contexte littéraire québécois comme aux conditions dans lesquelles s’exerce ici l’imaginaire romanesque.
Une histoire populaire de l’humanité, de Chris Harman, adopte le point de vue des délaissé-e-s de l’histoire « officielle ». Il offre une formidable plongée dans les combats que n’ont cessé de mener, à toutes les époques, les révolté-e-s, les dominé-e-s et les minorités du monde entier pour affirmer leurs droits et leur légitimité politiques. L’ambition de Chris Harman est de montrer à la fois que l’Occident n’est pas le centre universel de l’humanité et que ce sont les rapports de forces au sein d’une société, les interactions entre les hommes et la nature, entre les hommes et les techniques, entre les hommes et les idées, qui fondent la dynamique des changements sociaux. Ce livre est un hommage aux « vaincus de l’histoire » chers à Walter Benjamin, qui continuent de nourrir notre époque de leurs potentialités révolutionnaires.
C’était au temps des mammouths laineux, de Serge Bouchard. L’auteur, avec sa manière inimitable, sur le ton de la confidence, jette un regard sensible et nostalgique sur le chemin parcouru. Son enfance, son métier d’anthropologue, sa fascination pour les cultures autochtones, pour celle des truckers, son amour de l’écriture.
Boréal Compact :

Enfin, Boréal publie deux nouveaux Compact en ce début d’année. Le très attendu La Constellation du lynx, de Louis Hamelin, sera en librairie le 10 janvier 2012.
La célèbre saga familiale aux allures de tragédie grecque, L’Héritage de Victor-Lévy Beaulieu qui a captivé des millions de spectateurs dans les années 80 paraîtra le 24 janvier.
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Découvrez la liste complète du préprogramme sur notre page d’accueil, dans la section « À paraître ».
Pour la première fois, dans la sélection 2011 de la Revue des livres pour enfants, revue française publiée par la Bibliothèque nationale de France, on propose une sélection des meilleurs livres québécois de l’année.
Sur les centaines de titres jeunesse publiés au Québec, la revue a choisi sept albums et seize romans, dont trois sont parus au Boréal.
– La Vengeance d’Adeline Parot de Christiane Duchesne : « Ce petit roman intimiste se déguste avec un infini plaisir. Cela tient à la fluidité du récit, très dialogué, mais aussi à la simplicité de ces personnages qui ont compris ce qui est essentiel dans la vie. En filigrane une interrogation sur la « vraie » filiation. »
– Mesures de guerre d’André Marois : « Un éclairage très accessible sur une période trouble et méconnue. »
– 21 jours en octobre de Magali Favre : « Le roman nous permet de mieux appréhender cette période historique peu connue. »
Plusieurs essais sont parus aux Éditions du Boréal cet automne. Voici une revue de presse autour de certaines publications : la nouvelle collection « Liberté grande », Gaston Miron, la vie d’un homme, Le Camp des justes, Recours aux sources, Fous, ivres ou méchants ? et L’Art vivant.
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La nouvelle collection « Liberté grande » des Éditions du Boréal se consacre exclusivement au genre de l’essai. Wajdi Mouawad, Jean-François Chassay et Régine Robin sont les trois premiers auteurs à publier dans cette collection. Les médias en parlent :
« Liberté de parole et beauté de la prose sont les deux critères de la nouvelle collection d’essais Liberté Grande chez Boréal, dirigée par Robert Lévesque, qui veut en faire une nouvelle adresse pour les écrivains capables de s’aventurer hors des sentiers de la fiction. »
Chantal Guy – La Presse
Nous autres les autres : « Un essai de haute voltige. »
Pierre Cayouette – L’actualité
La Littérature à l’éprouvette : « Chassay ne se contente pas de souligner que les écrivains s’intéressent à la science. Les œuvres qu’il analyse, souvent avec brio, se livrent plutôt à une « critique de l’humanité à travers la science ». »
Louis Cornellier – Le Devoir
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Gaston Miron, la vie d’un homme, de Pierre Nepveu, continue d’animer les journalistes.
« Avec le livre époustouflant qu’il a consacré à Gaston Miron, Pierre Nepveu s’est assuré de donner au mythique poète un grand et trop rare bonheur: celui d’avoir un biographe à sa hauteur. »
Normand Baillargeon, Le Libraire
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Le Camp des justes, dernier livre de Gil Courtemanche reprend les meilleurs de ses textes parus dans Le Devoir, où le chroniqueur se révèle un extraordinaire éveilleur de consciences et où il donne l’exemple d’une pensée libre.
« Il y a chez Gil Courtemanche non seulement une connaissance des sujets mais également une sensibilité par rapport à l’être humain. Il a cette passion, cet amour de l’Afrique qu’il nous transmet. Le texte inédit est tellement beau, touchant, tellement vrai. C’est une plume lumineuse. »
Djemila Ben Habib Radio-Canada / Plus on est de fous, plus on lit
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Dans Recours aux sources, Éric Bédard montre que le glorieux récit de la Révolution tranquille, largement fondé sur le rejet du passé, masque des réalités historiques paradoxales.
« Parmi les penseurs actuels du conservatisme, Bédard est de ceux qui comptent vraiment. Auteur remarquablement clair, rigoureux, ouvert aux autres points de vue, ne méconnaissant pas les carences de certaines versions du conservatisme, il est de ceux dont nous avons tous quelque chose à apprendre, quelles que soient nos allégeances politiques. »
Normand Baillargeon – Le Libraire
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Dans Fous, ivres ou méchants, Marie-Aimée Cliche trace l’évolution des formes de filicide, le meurtre d’un enfant par ses propres parents, et de la jurisprudence en ce domaine.
« Rien ne vaut le regard d’un historien pour mieux comprendre les phénomènes contemporains et connaître l’évolution des mentalités. Au moment où l’affaire Guy Turcotte alimente toujours les discussions, l’historienne Marie-Aimée Cliche se penche sur le phénomène des parents meurtriers. À lire pour aller au-delà de l’émotion primaire que suscite ce genre de crime. »
Pierre Cayouette – L’actualité
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Jean-Philippe Warren présente Paul-Émile Borduas dans L’Art vivant. Il s’intéresse à ses succès comme à ses échecs, à ses espoirs comme à ses doutes.
« Essayiste au style élégant et à la pensée originale, Warren s’attache notamment, depuis quelques années, à retracer les origines catholiques de la Révolution tranquille. Claire et instructive, tout en étant lyrique et sensible, la prose de Warren est celle d’un savant qui maîtrise et aime son sujet. »
Louis Cornellier – Le Devoir
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Vous pouvez lire des extraits de ces essais en cliquant sur les couvertures des livres.
Professeur émérite de l’Université McGill, Charles Taylor est un philosophe de réputation internationale. Ses écrits, traduits en vingt langues, portent sur un éventail de sujets, dont l’intelligence artificielle, le langage, le comportement social, la moralité et le multiculturalisme.
Son dernier essai, L’Âge séculier, est une riche réflexion sur les conditions contemporaines de la croyance. Il est d’usage de dire que nous, modernes occidentaux, appartenons à un « âge séculier ». Comment sommes-nous passés d’un temps, encore proche, où il était inconcevable de ne pas croire en Dieu, à l’époque actuelle où la foi n’est plus qu’une option parmi d’autres et va jusqu’à susciter la commisération ?
L’explication la plus courante est qu’à la faveur des progrès de la connaissance la vérité aurait triomphé de l’illusion, nous poussant à ne chercher qu’en nous-mêmes notre raison d’être et les conditions de notre épanouissement ici-bas.
Découvrez dans cette courte vidéo comment Charles Taylor envisage cet âge séculier.
Le nouveau livre de Dany Laferrière, L’Art presque perdu de ne rien faire, est en librairie depuis un mois. C’est déjà un grand succès, la presse ne tarit pas d’éloges à son sujet :
« Promenade dans la tête d’un homme, L’Art presque perdu de ne rien faire redonne ses lettres de noblesse à la lenteur et à la réflexion, qui est une protection contre l’unanimité ambiante, la logique marchande et les diktats, dans un monde aux idées formatées et à l’opinion instantanée. » — Josée Lapointe, La Presse
« C’est une réflexion sur le temps, sur la guerre, sur la vie, sur ce qui mène le monde. Il y a des milliers d’idées qui sont amenées dans ce livre-là. Il y a aussi beaucoup de petits moments de poésie pure. C’est vraiment un très beau livre. Un livre indispensable. Un livre qui nous repositionne. » — Catherine Lachaussée, Radio Canada/Ça me dit de prendre le temps
« Une véritable ode à la vie à l’état pur. » — Michelle Coudé-Lord, Le Journal de Montréal
« Un livre qui se lit avec énormément de plaisir. Un livre copieux, rond comme on les aime. » — Thérèse Parisien, 98,5 FM/Montréal maintenant
« C’est une ode au temps perdu. On est accompagné dans cette flânerie active par de grands penseurs, de grands écrivains. C’est un livre nécessaire. » — Tristan Malavoy-Racine, Voir, Télé Québec
« Un magnifique livre. » — Franco Nuovo, Radio Canada /Dessine-moi un dimanche
« C’est tellement réussi. Il faut prendre le temps de le lire. » — Chantal Lamarre, Radio Canada / Les Lionnes
« Dany Laferrière ouvre la porte de ses réflexions. Page après page, le lecteur se promène d’une pensée à une autre. Les idées coulent au rythme d’une écriture fluide où se rencontrent sensibilité, intelligence et humour. » — Sophie Gall, Le Soleil
« C’est du grand Dany Laferrière. C’est une pensée très dense, une quarantaine d’idées exploitées. Ce qui est extraordinaire, c’est le sens véritable du livre de chevet. » — Patricia Powers, RC/Chez nous le matin
« Un livre qui me parle beaucoup, et que je dévore lentement, petit morceau par petit morceau. Vous allez aimer. » — Michel Barrette, RC/Pour le plaisir
« Un bon livre oxygène l’esprit; c’est un peu ce qui se passe dans ce livre-là, ça irrigue le cerveau. » — Michel Désautels, Radio Canada /Désautels
Les Éditions du Boréal publient l’essai Recours aux sources, de l’historien Éric Bédard. En onze études brèves portant sur la culture et la politique québécoises au XXe siècle, l’auteur montre que le glorieux récit de la Révolution tranquille, largement fondé sur le rejet du passé, masque des réalités historiques paradoxales.
Visionnez la vidéo dans laquelle Éric Bédard explique son projet et revient sur le rôle de l’historien dans la société. « Il s’agit d’expliquer le passé en tant que tel, d’expliquer comment les gens du passé voyaient les choses et non pas comment ils auraient dû voir les choses. »
Vous pouvez feuilleter ou télécharger des extraits de Recours aux Sources sur notre site Internet.
Après avoir fait une grande carrière de reporter international et connu un succès mondial avec Un dimanche à la piscine à Kigali, Gil Courtemanche a tenu une chronique dans le quotidien Le Devoir. Le Camp des justes (Boréal) reprend les meilleures de ces chroniques.
« En relisant ces dernières chroniques, je retrouve presque à chaque page ce qui m’attache à cet intellectuel, par-delà sa personnalité rébarbative. Courtemanche, en effet, était un indigné permanent, mais qui avait le souci de soumettre ses emportements à l’épreuve des faits. » Louis Cornellier, Le Devoir
« Il y a chez Gil Courtemanche non seulement une connaissance des sujets mais également une sensibilité par rapport à l’être humain. Il a cette passion, cet amour de l’Afrique qu’il nous transmet. Le texte inédit est tellement beau, touchant, tellement vrai. C’est une plume lumineuse mise au service des indignés. » Djemila Benhabib, Plus on est de fous, plus on lit (SRC)
« Ce ne sont pas des textes très joyeux, mais absolument essentiels. Le dernier texte de Gil Courtemanche nous rappelle comment l’indignation est utile. C’est un regard noir, mais réaliste. » Sophie Langlois, Médium large (SRC)
Lisez un extrait sur notre site Internet.


Les Éditions du Boréal offrent une partie de leur catalogue en format numérique (PDF, ePub)
Depuis octobre, vingt-trois nouveaux titres sont disponibles pour vos liseuses électroniques ou vos ordinateurs. Vous pouvez les commander en ligne chez les libraires participants : Archambault, FQCMS (COOPSCO), Librairie Mosaïque, Livresquebecois.com, Renaud-Bray et Zone coopérative de l’Université Laval
Romans
Le Seul Instant de Robert Lalonde
Le Fou du père de Robert Lalonde
L’Art presque perdu de ne rien faire de Dany Laferrière
Le Charme des après-midi sans fin de Dany Laferrière
Comment conquérir l’Amérique en une nuit de Dany Laferrière
J’écris comme je vis de Dany Laferrière
Un dimanche à la piscine à Kigali de Gil Courtemanche
Le Camp des justes de Gil Courtemanche
Qui de nous deux? de Gilles Archambault
Une suprême discrétion de Gilles Archambault
Stupeurs et autres récits de Gilles Archambault
Borderline de Marie-Sissi Labrèche
La Petite Fille qui aimait trop les allumettes de Gaétan Soucy
Pour de vrai, pour de faux de Francine D’Amour
Onze petites trahisons d’Agnès Gruda
Là où était ici d’Hélène Monette
Rose déluge d’Edem Awumey
L’Œil de Marquise de Monique LaRue
Cowboy de Louis Hamelin
Essais
Déraillements de Robert Lévesque
Soulever les montagnes de Tracy Kidder
Wilfrid Laurier d’André Pratte
Recours aux sources d’Éric Bédard





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Dans quelques semaines, vous pourrez vous procurer les titres suivants :
Êtes-vous mariée à un psychopathe? de Nadine Bismuth
L’Énigme du retour de Dany Laferrière
Les Pieds sales d’Edem Awumey
Nous étions jeunes encore de Gilles Archambault
Sous pression de Jean-François Chassay
Glenn Gould de Mark Kingwell
Le Remède imaginaire de Benoît Dubreuil et Guillaume Marois
Louis-Hippolyte LaFontaine et Robert Baldwin de John Saul
Quelque chose comme un grand peuple de Joseph Facal
Le Cri des oiseaux fous de Dany Laferrière
Un enfant à ma porte de Ying Chen
Fous, ivres ou méchants? de Marie-Aimée Cliche
Le Métier de journaliste de Pierre Sormany
Ces spectres agités de Louis Hamelin
Pourquoi nos enfants sortent-ils de l’école ignorants? de Patrick Moreau
Marie-Sissi Labrèche, auteur entre autres de Borderline et de La Brèche, participe ce soir à une soirée lecture-discussion autour du thème Du malaise contemporain (pour public averti). Elle et plusieurs autres auteurs offriront des lectures de textes, suivies d’une discussion avec l’essayiste Maxime-Olivier Moutier.
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Jeudi 1er décembre, Librairie Raffin
6330, rue Saint-Hubert
de 17 h 30 à 20 h
Entrée libre
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Les photos des auteurs ne peuvent être reproduites sans l'autorisation des Éditions du Boréal.