Fruit de la collaboration de plus de 75 des meilleurs spécialistes et journalistes, L’État du Québec 2011 fait le bilan politique, économique, culturel et social du Québec pour l’année 2010-2011, incluant les statistiques à jour sur le Québec dans tous les domaines. Il propose des textes d’analyse sur tous les grands enjeux auxquels le Québec est confronté.
Miriam Fahmy, directrice de L’État du Québec 2011, s’entretient avec Michel Venne, directeur général de l’Institut du Nouveau Monde.
Dans son édition 2011, L’État du Québec réunit une série d’analyses qui éclairent les enjeux majeurs dans les domaines politique, environnemental,économique, démographique, ainsi que dans les secteurs de la santé et de l’éducation, des arts et de la culture, des médias, de la société civile, de l’aménagement du territoire, avec un bref détour du côté de la gouvernance canadienne sous les conservateurs, de la guerre en Afghanistan et du sommet du G-20.
Publié une fois l’an depuis 1995, il fournit aussi des statistiques mises à jour sur la démographie, les conditions de vie, l’emploi, la consommation, la santé, l’éducation, la culture, les médias, l’économie, les régions ainsi qu’une chronologie de l’année écoulée et des anniversaires historiques.
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La liste des cinq finalistes de l’édition 2010-2011 du prix Donner pour le meilleur ouvrage sur les politiques publiques canadiennes a été annoncée aujourd’hui. Robert Lacroix et Louis Maheu sont en lice pour leur essai Le CHUM, une tragédie québécoise.
« Compte rendu saisissant d’une politique publique qui a mal tourné… Un bilan original, dressé par des intervenants ayant assisté en direct à des événements qui se sont déroulés en coulisse… une excellente étude de cas rédigée de façon accessible »
– Membres du jury Donner
Le prix Donner couronne chaque année l’excellence et l’innovation dans les ouvrages sur les politiques publiques au Canada. Le lauréat sera dévoilé le mercredi 27 avril 2011 lors d’une cérémonie tenue à Toronto. Il recevra la somme de 35 000 $.
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Le 12 avril prochain, les Éditions du Boréal publieront Le Rêve de Champlain, la version française de la grande biographie que l’historien américain David Hackett Fischer a consacré à Samuel de Champlain.
Fruit d’une recherche colossale, accompagnée de nombreuses cartes et illustrations, dont plusieurs de la main de Champlain, cette grande biographie, la première depuis des décennies, est tout aussi enlevante que la vie de son modèle.
«La biographie de référence pour les décennies à venir.», Roger Schlesinger, The Journal of American History
«Une biographie complète, extrêmement fouillée, mais toujours captivante.», Neal Salisbury, The Boston Globe
«Un livre que chaque Canadien devrait avoir dans sa bibliothèque.», National Post
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Il est d’usage de dire que nous, modernes occidentaux, appartenons à un «âge séculier». Comment sommes-nous passés d’un temps, encore proche, où il était inconcevable de ne pas croire en Dieu, à l’époque actuelle, où la foi n’est plus qu’une option parmi d’autres et va jusqu’à susciter la commisération?
L’explication la plus courante est qu’à la faveur des progrès de la connaissance la vérité aurait triomphé de l’illusion, nous poussant à ne chercher qu’en nous-mêmes notre raison d’être et les conditions de notre épanouissement ici-bas.
En révélant les impensés de ce récit classique de la victoire des Lumières, qui fait du «désenchantement du monde» la seule clé de l’énigme, Charles Taylor entreprend une enquête philosophique et historique monumentale qui renoue les liens entre l’humanisme et l’aspiration à la transcendance. Loin d’être une «soustraction» de la religion, la sécularisation est un processus de redéfinition de la croyance qui a vu se multiplier les options spirituelles. Si plus aucune de celles-ci n’est en mesure de s’imposer, les impasses du «matérialisme» et les promesses déçues de la modernité continuent d’éveiller un besoin de sens.
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Robert Lévesque, qui publiait récemment Déraillements, son 5e livre dans la collection Papiers collés, participera à un colloque d’une journée sur l’esthétique de la négation dans la littérature québécoise. Sa communication portera sur le roman La Squine d’Albert Laberge. Cet événement est organisé par le Centre de recherche interuniversitaire sur la littérature et la culture québécoise (CRILCQ).
Entrée gratuite
Le 1er avril, dès 9 h 15, au pavillon Charles-De Koninck de l’Université Laval, local 5242.
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Gaétan Soucy, l’auteur de La Petite Fille qui aimait trop les allumettes, sera au thé littéraire du Château Dufresne le samedi 26 mars prochain pour discuter de Montréal et ses quartiers.
Le samedi 26 mars, à 14 h, au Château Dufresne situé au 2929, avenue Jeanne-d’Arc, téléphone: 514 259-9201.
Prix d’entrée incluant la conférence, le thé et la visite du Château : 20 $.
Pour plus d’information sur les activités culturelles au Château Dufresne, cliquer ici.
Marie Laberge sera à la librairie Pantoute de Québec le mardi 22 mars de 12 h 30 à 14 h pour une séance de dédicaces de sont plus récent roman Revenir de loin.
Venez la rencontrer !
La librairie Pantoute est située au 1100, rue Saint-Jean à Québec, téléphone : 418 694-9748
Pour accéder au site Internet de la librairie, cliquer ici.
La Fondation culturelle Jean-de-Brébeuf, organisme à caractère social et éducatif s’adressant plus particulièrement aux aînés, recevra Jacques Godbout pour une conférence le lundi 28 mars à 13 h 30.
Observateur sociopolitique de premier plan, écrivain et cinéaste, Jacques Godbout a publié au printemps 2010, sous le titre Lire, c’est la vie, ses chroniques parues entre 1979 et 2009 dans la revue L’Actualité. Venez l’écouter !
Prix d’entrée pour les non membres : 7 $
À la salle Brébeuf, située au 5625, avenue Decelle.
Renseignements: 514 342-9342 p.: 5412.
Pour accéder au site Internet de la fondation, cliquer ici.


Monsieur Melville (Victor-Lévy Beaulieu), Onze petites trahisons (Agnès Gruda) et L’Herbe verte, l’eau vive (Thomas King) font leur entrée dans la collection Boréal compact, qui présente des grands livres à prix accessible.
L’occasion idéale de les découvrir ou redécouvrir.
Les photos des auteurs ne peuvent être reproduites sans l'autorisation des Éditions du Boréal.