Venez entendre Chris Turner, auteur de Science, on coupe !, le 18 mars 2014 à 19 h à l’amphithéâtre du Musée Redpath. L’auteur sera entouré du Dr Katie Gibbs, de Mike De Souza et de Ethan Cox, maître de cérémonie.
Au fil de trois conférences bilingues, suivies d’une table ronde, les participants établiront une connexion entre les compressions budgétaires dans le domaine de la recherche, le bâillonnement des scientifiques du gouvernement et le programme actuel du gouvernement Harper : un démantèlement concerté de la longue tradition du Canada de leadership dans les sciences naturelles et la gérance de l’environnement.
****
ENTRÉE GRATUITE
MARDI 18 MARS • 19h à 21h
L’amphithéâtre du Musée Redpath, 859, rue Sherbrooke O., Montréal
L’Alliance Française de Vancouver accueillera Martin Winckler le 13 mars prochain pour une conférence sur son ouvrage Dr House, l’esprit du Shaman. La rencontre, ouverte au public et gratuite, aura lieu à l’auditorium de l’Alliance Française à 18 h 30.
***
Pour plus d’informations : http://bit.ly/1fSaWtH.
Déjà récipiendaire du prix « 2014 B.C. National Award for Canadian Non-fiction » pour son ouvrage L’Indien malcommode (The inconveniant Indian), Thomas King s’est vu remettre hier le prestigieux RBC Taylor Prize 2014. Ce prix, accompagné d’une bourse de 25 000 $, est décerné par la Fondation Charles Taylor.
La traduction de cet essai, assurée par le romancier Daniel Poliquin, vient tout juste de paraître aux Éditions du Boréal.
Est également parue au Boréal, la traduction du recueil de nouvelles de Thomas King, Une brève histoire des Indiens au Canada.
Christiane Duchesne participe ce soir à une table ronde qui réunira les finalistes du Prix littéraire des collégiens. Cette rencontre gratuite et ouverte au public se déroule à la Librairie Olivieri, à Montréal. Les discussions seront suivies d’une période de questions.
Venez rencontrer l’auteur de Mensonges !
*************************************
Le lundi 10 mars à 19 h
Librairie Olivieri, 5219, chemin de la Côte-des-Neiges
RSVP : 514 739-3639
L’entrée est gratuite.
Pour plus de détail : http://murmitoyen.com/391580
Le 11e Combat des livres se tiendra du 31 mars au 3 avril sur les ondes d’ICI Radio-Canada. Joute de mots, d’idées et de passion, le Combat des livres amène des personnalités de divers horizons à débattre pour faire valoir leur livre coup de cœur sur le plateau de l’émission Plus on est de fous, plus on lit!, animée par Marie-Louise Arsenault. La Belle bête, de Marie-Claire Blais, y sera défendu par le musicien Paul Cargnello.
Pour plus de détail et pour connaître les quatre titres en compétition, cliquez ici
Confessions d’un extraterrestre c’est…
… l’histoire d’un nommé Jacques Benoit qui se fait « cloner » par un extraterrestre… Le tout est raconté par l’extraterrestre (d’où le titre), mais, étant peu connu, celui-ci demande à Jacques Benoit de signer le récit en son nom. Benoit a la faiblesse – on peut dire aussi la gentillesse – d’accepter.
On est à Montréal, sur une période allant de 1955 à 2015…
Les deux héros ont 14 ans au début, et 74 ans à la fin, en 2015. 1955, c’est-à-dire l’époque d’avant les autoroutes, des tramways et alors que Montréal, très paisible et même endormi, comptait quatre très grands magasins, rue Sainte-Catherine. Et… 2015, c’est demain !
Raconter une histoire d’extraterrestre…
J’ai peut-être la conviction que nous ne sommes pas seuls dans l’univers. Songez que dans notre seule galaxie, on compte quelque 25 milliards d’étoiles qui ont un système planétaire comme le nôtre! À remarquer: la dernière scène du prologue où apparaît une soucoupe volante est rigoureusement authentique. Rigoureusement, je le répète.
Deux personnages : Jacques Benoit et Jacques Yaké Benoit …
Jacques Yaké Benoit est le « clone » de Jacques Benoit, écrivain et journaliste. Yaké est en quelque sorte son double, en tous points identiques à l’original. Sur le plan physique, intellectuel, psychologique, etc. Mais c’est aussi, en même temps, un extraterrestre.
Des moments très drôles comme…
… la scène où un extraterrestre rend visite à Benoit et à sa femme en traversant le plafond comme si celui-ci n’existait pas… Il faut dire que je me suis moi-même beaucoup amusé en écrivant ce roman, j’ai écrit de nombreuses scènes avec le sourire aux lèvres.
Le fantastique d’un côté et la réalité de l’autre…
J’aime le mélange des genres, rien n’est jamais simple. Et j’aime l’idée des doubles – tous les êtres humains ont plusieurs facettes. Et puis, il ne faut pas oublier que mêmes des scientifiques de haut niveau tendent à croire que notre univers n’est pas le seul, qu’il existe – peut-être – des univers parallèles. Incroyable, non ?
Lisez un extrait de Confessions d’un extraterrestre sur le site Internet.
Confessions d’un extraterrestre est maintenant disponible en librairie ou au format numérique.
Le Vol de l’ange se passe…
… au Nouveau-Brunswick, entre 1875 et 1925. Au Nouveau-Brunswick, à cette époque, on avait coutume de mettre aux enchères les orphelins et les vieillards à qui il fallait trouver un toit. Pratique en apparence inhumaine qui avait l’avantage d’éloigner ces indigents de l’orphelinat ou de l’hospice, où ils seraient à coup sûr maltraités. Le Vol de l’ange, c’est l’histoire d’un vieux monsieur que l’on s’apprête à renvoyer aux enchères et qui a déjà été vendu enfant.
Ce vieux monsieur a peut-être soixante ans et une grosse particularité…
Sans être sourd ni muet, il ne parle pas. Mais il entend tout et se souvient de tout. Il raconte sa vie et celle de quelques personnes qu’il a côtoyées. Notamment sa mère, la belle Salomé, et d’autres femmes qu’il a aimées mais qu’il ne nomme pas.
Un roman picaresque qui conteste fortement l’ordre établi…
Au cœur de ce roman, il y a l’idée de classe, mais prise dans son sens intellectuel. Les gens qui ont de la classe et le disent, dans ce roman, sont ceux dont les familles ont connu des déconvenues, surtout politiques. Il leur en est resté un sentiment de supériorité qui ne repose que sur des souvenirs de grandeur. Le narrateur, lui, n’éprouve pas ce sentiment de classe, par ailleurs inoffensif. Il s’en moque plutôt. Sa contestation de l’ordre établi trouve donc surtout refuge dans l’ironie, le rire, mais un rire tout de même indulgent.
Malgré un sujet qui peut être pesant, on rit beaucoup….
Ce rire est essentiellement chez moi. Mais toutes mes créatures imaginaires rient… Le rire est nécessairement facteur de réflexion et de contestation.
Lisez un extrait sur le site Internet.
Le Vol de l’ange est maintenant disponible en librairie ou au format numérique.
Venez rencontrer les auteurs du Boréal à l’occasion du Salon du livre de l’Outaouais, qui se tiendra du 27 février au 2 mars. Robert Lalonde, Edem Awumey, Marie-Louise Gay, Carl Leblanc, Michael Delisle et Daniel Poliquin seront présents au stand Dimedia # 115 pour des séances de signature. Pour connaître l’horaire des séances de chacun, cliquez sur le nom de l’auteur.
Thomas King vient de remporter le BC National Award for Canadian Non-Fiction pour son livre The Inconvenient Indian, tout juste publié dans sa version française sous le titre L’Indien malcommode aux Éditions du Boréal.
L’ouvrage, qui se veut la réflexion personnelle et critique que Thomas King a menée depuis un demi-siècle sur ce que cela signifie d’être Indien aujourd’hui en Amérique du Nord, a été choisi parmi 141 autres titres.
Mentionnons que The Inconvenient Indian est aussi finaliste au RBC Taylor Prize qui sera remis le mois prochain à Toronto.
Dans le cadre de la Nuit blanche à Montréal, le 1er mars de 21h à minuit, la Maison des écrivains ouvre ses portes pour une soirée sur le thème « Il était une nuit ». Venez rencontrer Christiane Duchesne : elle vous convie à un atelier d’écrivain public et à des lectures d’extraits dans une ambiance intime et feutrée. Pâtisseries et thé seront même au rendez-vous !
Pour plus d’informations, visitez le site de l’UNEQ.
Les photos des auteurs ne peuvent être reproduites sans l'autorisation des Éditions du Boréal.